Le peuple des connecteurs : Ils ne votent pas, ils n'étudient pas, ils ne travaillent pas... mais ils changent le monde: Livres: Thierry Crouzet
Un bouquin qui s'interesse à la composante sociale du Web
Le blog de son auteur est [Là !]
Sur ce blog, il y a une excellente remarque sur la différence entre une démocratie collaborative et une démocratie participative : Ces derniers jours, j’ai pris conscience qu’il pouvait y avoir participation sans collaboration, que la participation seule était encore un moyen d’endormir les citoyens (nouvel opium du peuple).
Quand j’étais à l’école, jamais je ne levais le doigt pour répondre aux questions (surtout quand je connaissais les réponses).
Je ne participais donc pas. D’autres le faisaient. Mais ils ne collaboraient pas les uns avec les autres.
En tout cas, les questions posées par l’institutrice qui les poussaient à participer ne les incitaient pas à collaborer.
Thierry Crouzet applique ça à la politique ( Ségolène Royal) puis revient sur le monde Internet : ... Si vous voulez écrire une définition sur wikipedia, vous ne pouvez pas vous contenter de participer, c’est-à-dire pondre votre texte et vous en désintéresser. Vous devez dialoguer avec tous ceux qui viendront le modifier, le critiquer, le compléter… Collaborer c’est travailler ensemble, c’est profiter de l’intelligence de tous.
Pour moi, le cinquième pouvoir ne peut advenir que grâce aux nouveaux outils de collaboration massive. Nous ne sommes qu’au début de cette aventure.
Cela va dans le même sens que ce que disait Rachid Nekkaz : Quand 414 députés disent OUI à une Proposition de loi d’un citoyen, et que le gouvernement dit NON...
On peut aller même beaucoup plus loin comme ce site sur la Démocratie eXtrême en anglais qui prône un passage global des commandes au peuple comme dans l'extrem Programming (personnellement, je pense qu'il faut faire certainement des réglages et essais d'abord car il pourrait y avoir de gros ratés ... En informatique on fait des tests préalables que tout public connait sous le nom de beta tests. En politique ??? )
Le blog de son auteur est [Là !]
Sur ce blog, il y a une excellente remarque sur la différence entre une démocratie collaborative et une démocratie participative : Ces derniers jours, j’ai pris conscience qu’il pouvait y avoir participation sans collaboration, que la participation seule était encore un moyen d’endormir les citoyens (nouvel opium du peuple).
Quand j’étais à l’école, jamais je ne levais le doigt pour répondre aux questions (surtout quand je connaissais les réponses).
Je ne participais donc pas. D’autres le faisaient. Mais ils ne collaboraient pas les uns avec les autres.
En tout cas, les questions posées par l’institutrice qui les poussaient à participer ne les incitaient pas à collaborer.
Thierry Crouzet applique ça à la politique ( Ségolène Royal) puis revient sur le monde Internet : ... Si vous voulez écrire une définition sur wikipedia, vous ne pouvez pas vous contenter de participer, c’est-à-dire pondre votre texte et vous en désintéresser. Vous devez dialoguer avec tous ceux qui viendront le modifier, le critiquer, le compléter… Collaborer c’est travailler ensemble, c’est profiter de l’intelligence de tous.
Pour moi, le cinquième pouvoir ne peut advenir que grâce aux nouveaux outils de collaboration massive. Nous ne sommes qu’au début de cette aventure.
Cela va dans le même sens que ce que disait Rachid Nekkaz : Quand 414 députés disent OUI à une Proposition de loi d’un citoyen, et que le gouvernement dit NON...
On peut aller même beaucoup plus loin comme ce site sur la Démocratie eXtrême en anglais qui prône un passage global des commandes au peuple comme dans l'extrem Programming (personnellement, je pense qu'il faut faire certainement des réglages et essais d'abord car il pourrait y avoir de gros ratés ... En informatique on fait des tests préalables que tout public connait sous le nom de beta tests. En politique ??? )
posted by TheCric |
05:51
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