Web 2.0 - L'émergence des Mass Media sociales - The Emergence and Rise of Mass Social Media @ WEB 2.0 JOURNAL
Ce dessin fourni par le Web2Journal montre les différences de fonctionnement entre les médias traditionnels et les médias sociaux de masse ainsi que le glissement qui s'effectue vers ceux-ci.
Cela peut sembler évident pour certains d'entre nous mais cela en éclairera d'autres (voir plus bas) en particulier sur l'émergence des médias comme YouTube .
Dion Hinchcliffe dans l'article mis en lien fournit une série de définitions avec explications de ce que l'on pourrait appeler les Médias Sociaux de Masse en 2007 :
(traduction libre et rapide avec l'aide de Reverso)
1. Communication sous forme de conversation, pas de monologue
Cela implique que les médias sociaux doivent faciliter la discussion bilatérale, le discours et le débat avec peu ou pas de modération ou censure.
Autrement dit, la section de commentaires de votre blog ou des médias partageant le site n'est pas facultative et doit être ouverte à chacun.
2. Les participants aux médias sociaux sont des gens, pas des organisations
La parole à la troisième personne est découragée et les sources des idées ainsi que les participations sont clairement identifiées et associées avec les individus qui ont fait des contributions.
L'anonymat est aussi découragé, mais permis dans certaines situations très limitées.
3. L'honnêteté et la transparence sont des valeurs fondamentales
Le tournoiement (NdT : la rhétorique ?) qui essaye de contrôler, de manipuler, ou de faire du spam dans un débat est complètement découragé.
Les médias sociaux sont souvent des forums francs et candides et les organisations traditionnelles (qui ne feront partie de la conversation qu'au travers de leurs membres) auront souvent des moments d'adaptation difficiles.
4. Tout est dans la traction(pull) et non dans la poussée (push) (It's all about pull, not push)
Comme le cabinet McKinsey & cie l'a noté il y a peu près un an , les systèmes à poussée(push), comme le marketing mono-directionnel, la publicité et la gestion de commande-et-contrôle(Ndt :??) qui sont des exemples typiques, ne sont pas de près ni de loin, aussi efficaces que les systèmes à base de traction (pull) où les gens amènent le contenu et les rapports qu'ils désirent, au lieu qu'ils leurs soient imposés.
Loin d'être une "théorie" de gestion, la plupart de ce que nous voyons dans le Web 2.0 nous montre la puissance de ces systèmes à base de traction ainsi que leur très larges audiences.
Au fur et à mesure que vous créez une communauté avec un média social, comprendre comment, à partir d'une traction sociale, déclencher un embrasement au lieu de le faire à partir d'une poussée propre est une des techniques fondamentales.
Dans les médias sociaux, les gens sont aux commandes de leurs conversations, ce qui n'est pas le cas dans les médias à base de poussée ( push )
5. Distribuer au lieu de centraliser
Un aspect souvent oublié des médias sociaux est le fait que les interlocuteurs sont nombreux et divers.
Deviennent exclu les travers qui arrivent inévitablement dans l'information quand seulement quelques organisations contrôlent la création et la distribution de celle-ci .
Les médias sociaux sont fortement distribués et composés de dizaines de millions de voix et ce faisant avec beaucoup plus de matières, riches et hétérogènes que les médias traditionnels pourraient jamais être ( ou rêver d'être) .
Encourager les discussions sur les très nombreux sujets de nos réseaux, tel est le point fondamental
Il est à noter que l'article originel ( plus complet évidemment ) est là : The Emergence and Rise of Mass Social Media @ WEB 2.0 JOURNAL
Il faut bien sûr, rapprocher cet article de l'article fondateur du web 2.0 , des articles pointés [ici !] , [là !] ou encore [là !]
( On pourrait encore y ajouter [ça!] et même de [ce travail là !] et si vous n'en avez pas assez voila en globalité sur TheCricLinks ce qu'il y a sur le Web 2.0 et si vous en faites une synthèse prévenez-moi ;-)
Cela peut sembler évident pour certains d'entre nous mais cela en éclairera d'autres (voir plus bas) en particulier sur l'émergence des médias comme YouTube .
Dion Hinchcliffe dans l'article mis en lien fournit une série de définitions avec explications de ce que l'on pourrait appeler les Médias Sociaux de Masse en 2007 :
(traduction libre et rapide avec l'aide de Reverso)
1. Communication sous forme de conversation, pas de monologue
Cela implique que les médias sociaux doivent faciliter la discussion bilatérale, le discours et le débat avec peu ou pas de modération ou censure.
Autrement dit, la section de commentaires de votre blog ou des médias partageant le site n'est pas facultative et doit être ouverte à chacun.
2. Les participants aux médias sociaux sont des gens, pas des organisations
La parole à la troisième personne est découragée et les sources des idées ainsi que les participations sont clairement identifiées et associées avec les individus qui ont fait des contributions.
L'anonymat est aussi découragé, mais permis dans certaines situations très limitées.
3. L'honnêteté et la transparence sont des valeurs fondamentales
Le tournoiement (NdT : la rhétorique ?) qui essaye de contrôler, de manipuler, ou de faire du spam dans un débat est complètement découragé.
Les médias sociaux sont souvent des forums francs et candides et les organisations traditionnelles (qui ne feront partie de la conversation qu'au travers de leurs membres) auront souvent des moments d'adaptation difficiles.
4. Tout est dans la traction(pull) et non dans la poussée (push) (It's all about pull, not push)
Comme le cabinet McKinsey & cie l'a noté il y a peu près un an , les systèmes à poussée(push), comme le marketing mono-directionnel, la publicité et la gestion de commande-et-contrôle(Ndt :??) qui sont des exemples typiques, ne sont pas de près ni de loin, aussi efficaces que les systèmes à base de traction (pull) où les gens amènent le contenu et les rapports qu'ils désirent, au lieu qu'ils leurs soient imposés.
Loin d'être une "théorie" de gestion, la plupart de ce que nous voyons dans le Web 2.0 nous montre la puissance de ces systèmes à base de traction ainsi que leur très larges audiences.
Au fur et à mesure que vous créez une communauté avec un média social, comprendre comment, à partir d'une traction sociale, déclencher un embrasement au lieu de le faire à partir d'une poussée propre est une des techniques fondamentales.
Dans les médias sociaux, les gens sont aux commandes de leurs conversations, ce qui n'est pas le cas dans les médias à base de poussée ( push )
5. Distribuer au lieu de centraliser
Un aspect souvent oublié des médias sociaux est le fait que les interlocuteurs sont nombreux et divers.
Deviennent exclu les travers qui arrivent inévitablement dans l'information quand seulement quelques organisations contrôlent la création et la distribution de celle-ci .
Les médias sociaux sont fortement distribués et composés de dizaines de millions de voix et ce faisant avec beaucoup plus de matières, riches et hétérogènes que les médias traditionnels pourraient jamais être ( ou rêver d'être) .
Encourager les discussions sur les très nombreux sujets de nos réseaux, tel est le point fondamental
Il est à noter que l'article originel ( plus complet évidemment ) est là : The Emergence and Rise of Mass Social Media @ WEB 2.0 JOURNAL
Il faut bien sûr, rapprocher cet article de l'article fondateur du web 2.0 , des articles pointés [ici !] , [là !] ou encore [là !]
( On pourrait encore y ajouter [ça!] et même de [ce travail là !] et si vous n'en avez pas assez voila en globalité sur TheCricLinks ce qu'il y a sur le Web 2.0 et si vous en faites une synthèse prévenez-moi ;-)
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