Fuzz a été condamné comme éditeur d'un contenu qu'il n'a pas écrit
Lorsque la justice s'imagine en inventeur du web...
Fuzz condamné comme éditeur du contenu qu' il n'écrit pas
Je délire peut-être mais on pourrait imaginer le scénario suivant qui pourrait même aller bien plus loin que le cas du jour Eric Dupin vs Olivier martinez
Le site web A possède un lien qui pointe vers un site B
Avant tout ça, le webmaster de A vérifie B, B est propre et donc le webmaster de A juge le site conforme à la loi et donc publie son lien.
B change son contenu pour un contenu non conforme, A est condamné pour les changements dans B.
Comme le web n'a pas été inventé avec des trackbacks (références en arrière) on peut imaginer faire tomber sous la loi n'importe quel site A pour peu que l'on arrive à écrire dans le site B.
Exemple : En allant sur cette page de Matoumba, qui encapsule cette page de PCInpact, j'ai mis dans le forum associé sur PCInpact un lien vers cette page que vous lisez.
je peux donc maintenant écrire une horreur ce qui suiciderait TheCricLinks et pourrait faire condamner par effet de bord PCInpact et Matoumba ....
Un véritable petit outil pour dictature en herbe.... Et zut je leur donne encore des idées à celles-là.
Et évidemment avec ça, Adieu aux Mashups du Web 2.0 fournissant un contenu externe ...
Libellés : Liberté, Libertés numériques, Olivier Martinez vs Web 2.0, Web 2.0, Web en Danger
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