Lorsque un dialogue entre pilote et contrôleur aérien ressemble à un dialogue entre chauffards - Athis-Mons
"...Le contrôle demande donc de réduire la vitesse de 871 km/h à 800 km/h, soit une baisse de 70 km/h...
En règle générale, les vols long-courriers arrivent à une vitesse de croisière plus importante que les autres vols, le pilote est donc furieux.
Mon collègue explique qu'il a rattrapé son retard. Il a dû décoller en retard de
Ouagadougou et a passé six heures à optimiser sa trajectoire et sa vitesse pour rattraper 10 ou 15 minutes afin d'arriver à l'heure et d'assurer les correspondances.
En lui demandant de ralentir, le contrôleur aérien lui fait perdre le temps qu'il avait regagné.
Du coup, notre avion a dû consommer 3 à 4 tonnes de kérosène, du fait de l'accélération, pour rien."
[L'histoire complète ici !]
En règle générale, les vols long-courriers arrivent à une vitesse de croisière plus importante que les autres vols, le pilote est donc furieux.
Mon collègue explique qu'il a rattrapé son retard. Il a dû décoller en retard de
Ouagadougou et a passé six heures à optimiser sa trajectoire et sa vitesse pour rattraper 10 ou 15 minutes afin d'arriver à l'heure et d'assurer les correspondances.
En lui demandant de ralentir, le contrôleur aérien lui fait perdre le temps qu'il avait regagné.
Du coup, notre avion a dû consommer 3 à 4 tonnes de kérosène, du fait de l'accélération, pour rien."
[L'histoire complète ici !]
Libellés : Air et Espace, écologie
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home