Au sujet du roman de "Houellebecq/wikipédia", Benjamin Bayart répond à « La Plume d'Aliocha
Benjamin Bayard: "...On s’est fait tellement agressé par les gens du monde du propriétaire qu’on est devenu susceptible.
Quand je suis coupable d’une contrefaçon à visée non-commerciale, en écoutant un morceau de musique, je suis un odieux malfaiteur, 3 ans de prison, 300.000 euros d’amende.
Quand c’est Flamarion qui ne respecte pas le droit d’auteur, c’est la Culture qu’on défend? C’est trop facile.
C’est donc devenu une tradition, à chaque fois que les pénibles qui attaquent le partage à visée non-marchande se font prendre les doigts dans le pot de confiture, à violer allègrement les droits d’auteur, le plus souvent avec des visées marchandes, alors on relève, et on attaque.
D’abord médiatiquement, en le disant, mais de plus en plus souvent réellement, au tribunal par exemple.
J’espère vivement que cette petit histoire se finira devant un tribunal, qu’on sache enfin si la protection des droits d’auteurs, c’est pour tous les auteurs, ou si ce n’est officiellement que pour le fruit du système marchand, et donc la protection des droits des éditeurs et vendeurs uniquement."
Trouvé dans les commentaires de ce billet bien écrit mais vraiment "à côté de la plaque" :Les dindons de la modernité ou Microsoft guidant le peuple « La Plume d'Aliocha
Pour le moment, le volet répressif d'Hadopi est toujours "gelé" en attendant les distributions "labellisées"
Quand je suis coupable d’une contrefaçon à visée non-commerciale, en écoutant un morceau de musique, je suis un odieux malfaiteur, 3 ans de prison, 300.000 euros d’amende.
Quand c’est Flamarion qui ne respecte pas le droit d’auteur, c’est la Culture qu’on défend? C’est trop facile.
C’est donc devenu une tradition, à chaque fois que les pénibles qui attaquent le partage à visée non-marchande se font prendre les doigts dans le pot de confiture, à violer allègrement les droits d’auteur, le plus souvent avec des visées marchandes, alors on relève, et on attaque.
D’abord médiatiquement, en le disant, mais de plus en plus souvent réellement, au tribunal par exemple.
J’espère vivement que cette petit histoire se finira devant un tribunal, qu’on sache enfin si la protection des droits d’auteurs, c’est pour tous les auteurs, ou si ce n’est officiellement que pour le fruit du système marchand, et donc la protection des droits des éditeurs et vendeurs uniquement."
Trouvé dans les commentaires de ce billet bien écrit mais vraiment "à côté de la plaque" :Les dindons de la modernité ou Microsoft guidant le peuple « La Plume d'Aliocha
Pour le moment, le volet répressif d'Hadopi est toujours "gelé" en attendant les distributions "labellisées"
Libellés : HADOPI, Open Source
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