Affaire Fuzz vs Martinez, extrait de l'ordonnance du référé - Presse-citron
Cliquez sur le lien ci-dessus pour l'ordonnance ...
Tous les liens que je mettrai sur cette affaire seront consignée sous cette étiquette(Olivier Martinez vs Web 2.0). On peut donc la considérer comme un permalien (lien permanent).
Si vous êtes sur un blog de type blogspot ou blogger pour la première fois, il faut savoir que lorsqu'on clique sur une étiquette, cela met à la file tous les billets portant l'étiquette donc celui-ci aussi, ainsi ne vous étonnez pas de le retrouver après avoir cliqué sur l'étiquette. Après avoir cliqué, regardez plus bas, les billets précédents sont là, en file indienne.
Ceux qui sont intéressés par cette affaire devraient aussi s'intéresser à l'affaire Blogotop vs Blogometrie et peut-être aussi suivre le rôle de Nicolas Princen
Mise à jour du Dimanche 31 Mars 2007
Accessoirement, on peut se rendre compte que certains journalistes comme [ici sur France-info], bien qu'énonçant les faits, n'ont pas compris les conséquences pour le Web français et ne voient en ce jugement qu'une manière de sanctionner un soi-disant "amateurisme des blogueurs", une manière de "limiter les potins" et d'"attirer plus d'auditeurs vers les sites des journaux". Idem chez certains blogueurs comme [celui-là!].
N'ont-ils donc pas compris la structure du web tissée à base de liens, ni la notion de flux d'information du web 2.0, à base d'atomes XML /RSS , géré par des agrégateurs ?
N'ont-ils pas perçus les annonces des sites Web 2.0 qui annonçaient après le jugement leur fermeture ?.
Ou bien dans un archaïsme proche de l'obscurantisme, ceux-ci veulent-ils nous faire revenir à la structure d'un Yahoo! des années 1995 qui consignaient alors ses liens à la main ? Pourquoi Google serait-il si puissant devant Yahoo! si plébiscité par les utilisateur s'il n'y avait pas un plus dans ce moteur de recherche Google qui lit tout, indexe tout mais qui ne fait certainement pas cela à la main.
Je rappelle que même un lien consigné à la main peut être dangereux avec ce jugement "Martinez vs Fuzz" , puisque par définition un lien n'est qu'un lien et que ce vers quoi il pointe peut être modifié à postériori.
Est-ce pour cela que chez France-Info, sur le lien précédemment cité, il n'y a pas de possibilités de commentaires (avec peut-être des liens et une contradiction) ? Au-delà de la mauvaise foi de certains, se dégage la sensation que entre la loi pour la confiance dans l'économie numérique dont l'esprit était de défendre les nouvelles technologies et la possibilité d'empêcher les blogueurs d'apporter une information voire une contradiction et cela en se chaînant les uns aux autres, la justice française a pour le moment choisi d'opter pour la perte de liberté de la 2ème solution. Certains y voient une responsabilisation du Web 2.0. La grosse majorité des blogueurs y voient une atteinte à l'utilisation et à la création de nouveaux outils ainsi qu'une énorme atteinte à la liberté d'expression.
Cela voudrait -il dire que la puissance de la Blogosphère a atteint une taille critique telle que des instances (politiques ?) décideraient d'essayer de la mettre au pas ?
Tous les liens que je mettrai sur cette affaire seront consignée sous cette étiquette(Olivier Martinez vs Web 2.0). On peut donc la considérer comme un permalien (lien permanent).
Si vous êtes sur un blog de type blogspot ou blogger pour la première fois, il faut savoir que lorsqu'on clique sur une étiquette, cela met à la file tous les billets portant l'étiquette donc celui-ci aussi, ainsi ne vous étonnez pas de le retrouver après avoir cliqué sur l'étiquette. Après avoir cliqué, regardez plus bas, les billets précédents sont là, en file indienne.
Ceux qui sont intéressés par cette affaire devraient aussi s'intéresser à l'affaire Blogotop vs Blogometrie et peut-être aussi suivre le rôle de Nicolas Princen
Mise à jour du Dimanche 31 Mars 2007
Accessoirement, on peut se rendre compte que certains journalistes comme [ici sur France-info], bien qu'énonçant les faits, n'ont pas compris les conséquences pour le Web français et ne voient en ce jugement qu'une manière de sanctionner un soi-disant "amateurisme des blogueurs", une manière de "limiter les potins" et d'"attirer plus d'auditeurs vers les sites des journaux". Idem chez certains blogueurs comme [celui-là!].
N'ont-ils donc pas compris la structure du web tissée à base de liens, ni la notion de flux d'information du web 2.0, à base d'atomes XML /RSS , géré par des agrégateurs ?
N'ont-ils pas perçus les annonces des sites Web 2.0 qui annonçaient après le jugement leur fermeture ?.
Ou bien dans un archaïsme proche de l'obscurantisme, ceux-ci veulent-ils nous faire revenir à la structure d'un Yahoo! des années 1995 qui consignaient alors ses liens à la main ? Pourquoi Google serait-il si puissant devant Yahoo! si plébiscité par les utilisateur s'il n'y avait pas un plus dans ce moteur de recherche Google qui lit tout, indexe tout mais qui ne fait certainement pas cela à la main.
Je rappelle que même un lien consigné à la main peut être dangereux avec ce jugement "Martinez vs Fuzz" , puisque par définition un lien n'est qu'un lien et que ce vers quoi il pointe peut être modifié à postériori.
Est-ce pour cela que chez France-Info, sur le lien précédemment cité, il n'y a pas de possibilités de commentaires (avec peut-être des liens et une contradiction) ? Au-delà de la mauvaise foi de certains, se dégage la sensation que entre la loi pour la confiance dans l'économie numérique dont l'esprit était de défendre les nouvelles technologies et la possibilité d'empêcher les blogueurs d'apporter une information voire une contradiction et cela en se chaînant les uns aux autres, la justice française a pour le moment choisi d'opter pour la perte de liberté de la 2ème solution. Certains y voient une responsabilisation du Web 2.0. La grosse majorité des blogueurs y voient une atteinte à l'utilisation et à la création de nouveaux outils ainsi qu'une énorme atteinte à la liberté d'expression.
Cela voudrait -il dire que la puissance de la Blogosphère a atteint une taille critique telle que des instances (politiques ?) décideraient d'essayer de la mettre au pas ?
Libellés : Liberté, Libertés numériques, Olivier Martinez vs Web 2.0, Web 2.0, Web en Danger
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