Affaire Olivier Martinez: plusieurs sites web condamnés à leur tour - The Inquirer
Une représentante de Prisma Presse a confirmé à The Inquirer que l’acteur l’avait assigné pour des articles traitant de sa vie privée parus dans son magazine ainsi que sur son site internet éponyme, “gala.fr”.
Un autre média, e-NRJ (filiale de NRJ GROUP, ndlr) aurait également été assigné mais n’a pas souhaité répondre à nos questions.
Quelques heures après la condamnation de la société bloobox qui édite fuzz.fr, l’Association de Services Internet Communautaires (l'ASIC) s’est inquiétée de la décision du juge selon laquelle “Fuzz serait éditeur et non un hébergeur”.
Elle précisait dans le même temps que “faire des plateformes de blogs, des éditeurs responsables a priori du contenu de leurs sites revient tout simplement à demander leur fermeture et entraînera une déperdition considérable de la voix de la France sur Internet”.
Ironie de l’histoire, l’éditeur du blog qui avait posté le lien litigieux sur Fuzz tout comme son hébergeur Blogspot (appartenant à Google) n’ont pas été inquiété une seule seconde par l’avocat d’Olivier Martinez… Ce blog est même toujours en ligne.
Non, je n'ai pas mis un lien vers le lien litigieux (lien connu - mais on ne sais jamais), quoique si j'avais du temps à perdre, via mon billet précédent, on pourrait s'amuser
Cela montre que peu à peu, on perd notre liberté d'expression.
Comprenez-vous pourquoi je reste sur blogspot ( = blogger) pour le moment ? et n'irais jamais sur NRJ (par exemple)
En attendant que la justice devienne plus claire avec le Web, cet réflexion d''Emmanuel Parodi est intéressante et pointe sur plusieurs liens qui le sont aussi
Un autre média, e-NRJ (filiale de NRJ GROUP, ndlr) aurait également été assigné mais n’a pas souhaité répondre à nos questions.
Quelques heures après la condamnation de la société bloobox qui édite fuzz.fr, l’Association de Services Internet Communautaires (l'ASIC) s’est inquiétée de la décision du juge selon laquelle “Fuzz serait éditeur et non un hébergeur”.
Elle précisait dans le même temps que “faire des plateformes de blogs, des éditeurs responsables a priori du contenu de leurs sites revient tout simplement à demander leur fermeture et entraînera une déperdition considérable de la voix de la France sur Internet”.
Ironie de l’histoire, l’éditeur du blog qui avait posté le lien litigieux sur Fuzz tout comme son hébergeur Blogspot (appartenant à Google) n’ont pas été inquiété une seule seconde par l’avocat d’Olivier Martinez… Ce blog est même toujours en ligne.
Non, je n'ai pas mis un lien vers le lien litigieux (lien connu - mais on ne sais jamais), quoique si j'avais du temps à perdre, via mon billet précédent, on pourrait s'amuser
Cela montre que peu à peu, on perd notre liberté d'expression.
Comprenez-vous pourquoi je reste sur blogspot ( = blogger) pour le moment ? et n'irais jamais sur NRJ (par exemple)
En attendant que la justice devienne plus claire avec le Web, cet réflexion d''Emmanuel Parodi est intéressante et pointe sur plusieurs liens qui le sont aussi
Libellés : Libertés numériques, Olivier Martinez vs Web 2.0
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