Assange toujours à l'ambassade d'Equateur, les tractations se poursuivent - Libération
Pourvu que le fondateur de Wikileaks ne soit pas tombé dans un guêpier :
"...
Article complet:
Assange toujours à l'ambassade d'Equateur, les tractations se poursuivent - Libération
voir Aussi:
Assange: l’Equateur et ses alliés lancent un avertissement à Londres :
"...«Nous lançons un avertissement au gouvernement du Royaume-Uni sur les graves conséquences qui se déclencheraient dans le monde entier en cas d’agression directe contre l’intégrité territoriale de la République de l’Equateur à Londres», indique le communiqué. ..."
Voir enfin :
Les Etats-Unis rejettent la notion d'«asile diplomatique» pour Assange
"...Une «convention sur l’asile diplomatique» de l’’Organisation des Etats américains (OEA) du 29 décembre 1954 dispose que l'«asile est accordé dans des missions diplomatiques (...) à des personnes recherchées pour raisons politiques» à l’exception de «personnes inculpées ou jugées pour des délits de droit commun».
Interrogé jeudi sur la notion «d’asile politique», le département d’Etat a répondu vendredi dans un communiqué que «les Etats-Unis n'étaient pas signataires de la convention de 1954 de l’OEA sur l’asile diplomatique et ne reconnaissaient pas le concept d’asile diplomatique dans le droit international».
«Nous pensons qu’il s’agit d’une question bilatérale entre l’Equateur et le Royaume-Uni et que l’OEA n’a aucun rôle à y jouer», a ajouté le département d’Etat....
...
...
Même si Washington n’est pas partie à la convention de 1954, il s’est souvent servi de l’immunité de ses missions diplomatiques pour protéger des militants dans des pays jugés non démocratiques, comme en Chine..."
Et sur le même thème en anglais :
"...
Dès que Quito a annoncé jeudi qu'il accordait l'asile politique à
Assange, le Royaume-Uni a averti que cela ne changerait "rien" à la
procédure d'extradition.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, a toutefois semblé écarter pour l'instant la menace d'une intrusion policière dans l'ambassade, autorisée,
selon lui, par une loi de 1987. Un texte qui n'a été utilisé qu'une
seule fois pour expulser des squatteurs, mais son évocation a conduit
Moscou à "s'interroger sur le respect" par Londres des principes de la
Convention de Vienne sur l'immunité des locaux diplomatiques.
Guêpier
Face à l'intransigeance britannique, l'Equateur a tenté de rallier à sa cause les Etats sud-américains.
Il
a convoqué les ministres des Affaires étrangères de l'Union des nations
sud-américaines (Unasur) dimanche à Guayaquil pour faire un point sur
la situation.
...
...A en croire des proches de celui-ci, cités par le quotidien britannique Evening Standard, Julian Assange, qui vit dans une petite pièce dotée d'un lit à une place et d'une douche bricolée, lit beaucoup et surfe sur internet, et dispose aussi d'un tapis de course à pied et d'une lampe à bronzer...." Article complet:
Assange toujours à l'ambassade d'Equateur, les tractations se poursuivent - Libération
voir Aussi:
Assange: l’Equateur et ses alliés lancent un avertissement à Londres :
"...«Nous lançons un avertissement au gouvernement du Royaume-Uni sur les graves conséquences qui se déclencheraient dans le monde entier en cas d’agression directe contre l’intégrité territoriale de la République de l’Equateur à Londres», indique le communiqué. ..."
Voir enfin :
Les Etats-Unis rejettent la notion d'«asile diplomatique» pour Assange
"...Une «convention sur l’asile diplomatique» de l’’Organisation des Etats américains (OEA) du 29 décembre 1954 dispose que l'«asile est accordé dans des missions diplomatiques (...) à des personnes recherchées pour raisons politiques» à l’exception de «personnes inculpées ou jugées pour des délits de droit commun».
Interrogé jeudi sur la notion «d’asile politique», le département d’Etat a répondu vendredi dans un communiqué que «les Etats-Unis n'étaient pas signataires de la convention de 1954 de l’OEA sur l’asile diplomatique et ne reconnaissaient pas le concept d’asile diplomatique dans le droit international».
«Nous pensons qu’il s’agit d’une question bilatérale entre l’Equateur et le Royaume-Uni et que l’OEA n’a aucun rôle à y jouer», a ajouté le département d’Etat....
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...
Même si Washington n’est pas partie à la convention de 1954, il s’est souvent servi de l’immunité de ses missions diplomatiques pour protéger des militants dans des pays jugés non démocratiques, comme en Chine..."
Et sur le même thème en anglais :
Libellés : Liberté, Libertés numériques, WikiLeaks
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