La disparition de Jiwa illustre les déboires des sites de musique en ligne gratuite - LeMonde.fr
Une histoire qui aurait pu être naturellement évitée par l'utilisation d'une licence globale:
..."La start-up était parvenue à une audience d'un million de visiteurs uniques par mois pour un catalogue de 4,8 millions de titres.
..."nous faisions face à trois gros problèmes.
D'une part, l'écrasante concurrence d'Apple, qui pèse à lui seul plus de 70 % du marché de la musique numérique.
D'autre part, le piratage qui continue à représenter 90 % de la consommation réelle de musique sur le Web.
Le troisième, ce sont les minima garantis, qui nous ont complètement plombés", explique M.Plueger... (Universal Music, Warner Music, EMI, Sony Music) exigent chaque année des acteurs de l'Internet distributeurs Ces "minima", ce sont les sommes que les maisons de disquesde leurs titres numérisés, en plus d'une fraction des revenus publicitaires. Et ce, indépendamment de la consommation réelle de ces titres sur le Web. "En tout, en 2009, pour avoir accès à un catalogue conséquent, nous avons dû verser 1 million d'euros de minima aux maisons de disques, alors que nous n'avons réalisé qu'un chiffre d'affaires de 300 000 euros…....
L'article complet : La disparition de Jiwa illustre les déboires des sites de musique en ligne gratuite - LeMonde.fr
Voir aussi sur ce sujet le blog de Philippe Axel
..."La start-up était parvenue à une audience d'un million de visiteurs uniques par mois pour un catalogue de 4,8 millions de titres.
..."nous faisions face à trois gros problèmes.
D'une part, l'écrasante concurrence d'Apple, qui pèse à lui seul plus de 70 % du marché de la musique numérique.
D'autre part, le piratage qui continue à représenter 90 % de la consommation réelle de musique sur le Web.
Le troisième, ce sont les minima garantis, qui nous ont complètement plombés", explique M.Plueger... (Universal Music, Warner Music, EMI, Sony Music) exigent chaque année des acteurs de l'Internet distributeurs Ces "minima", ce sont les sommes que les maisons de disquesde leurs titres numérisés, en plus d'une fraction des revenus publicitaires. Et ce, indépendamment de la consommation réelle de ces titres sur le Web. "En tout, en 2009, pour avoir accès à un catalogue conséquent, nous avons dû verser 1 million d'euros de minima aux maisons de disques, alors que nous n'avons réalisé qu'un chiffre d'affaires de 300 000 euros…....
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