TheCricLinks
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La devise de la France est Liberté - Égalité - Fraternité. Cette devise peut et doit nous aider à trouver le bon chemin.
samedi 20 octobre 2012
Le cri du cœur des syndicats français est unanime : « 1 430 suppressions d'emplois chez Alcatel-Lucent en France : une catastrophe humaine et industrielle ! » ... la direction va fermer le site de Vélizy (Yvelines), plus gros site de France (2 400 salariés sans compter les sous-traitants) ...
Après la France, avec 1430 suppressions de postes sur 9 380 salariés, c'est l'Allemagne 530 sur 3 430 salariés, la Belgique, 290 sur 1 610 salariés, L'Espagne 180 sur 1 040 emplois et la Grande-Bretagne et Irlande, 130 sur 1 500 postes qui, dans l'ordre décroissant, paient la note des réductions d'effectifs.
« L’Europe qui ne représente plus que 35 % des effectifs mondiaux du groupe supporte le fardeau des 60 % des suppressions d’emplois, l’Amérique 22 % et l’Asie 18 % »....Alcatel-Lucent : moins d'Europe, plus d'Asie
mardi 16 octobre 2012
Felix Baumgartner freefall from the edge of space w/ New World Record: 128 000 Ft! [ full ] - YouTube
dimanche 14 octobre 2012
Google Webmaster Tools : 5 nouveautés pour mieux analyser son site - web & tech
Libellés : Google, référencement, Web
Pétition | Cancer des enfants: Pour le financement de la recherche par les groupes pharmaceutiques | Change.org
"Le cancer est la 1ère cause de décès des enfants par maladie.
Alors qu'on pourrait penser que ceux-ci sont prioritaires en termes de recherche et de traitement, c'est tout le contraire en France.
Ensemble, nous pouvons faire changer les choses. ...."
Pétition | Cancer des enfants: Pour le financement de la recherche par les groupes pharmaceutiques | Change.org
OPINION : Verdict du procés pour viols en réunion à Fontenay-Sous-Bois - FEMMES SOLIDAIRES s'indigne - Bienvenue sur Infos Chalon
Pour nous, Femmes solidaires, association de défense des droits des femmes et de lutte contre les violences faites aux femmes, le procès des viols collectifs commis sur deux mineures à Fontenay-sous-Bois, s’achève sur un verdict désastreux et inadmissible pour les victimes en premier lieu mais également pour toutes les femmes.
Le viol en réunion est un crime et les peines encourues pour de tels crimes peuvent aller jusqu’à 20 ans de réclusion.
Dans cette affaire, qu’est-ce qui a retenu la justice de faire appliquer des peines plus lourdes et qu’est-ce qui a permis d’en arriver à l’acquittement de 10 des 14 accusés?
Quel message envoyons-nous à la jeunesse ?
Un message d’impunité aux violeurs et un message de découragement aux victimes. Pensons à Nina et Stéphanie qui ont déjà été très éprouvées et font preuve d’un courage incroyable depuis douze années, mais aussi à toutes celles qui n’osent encore parler, et ne sont en aucun cas encouragées à le faire avec ce verdict.
Alors que nos militantes interviennent chaque semaine dans les établissements scolaires pour faire reculer les viols et violences sexistes et encourager les victimes à oser une parole, la justice nous rend la tâche encore plus difficile aujourd’hui avec une telle décision, au lieu de légitimer notre action. Les avocates des deux parties se retrouvent pour dire que le procès a été « bâclé ».
Comment est-il possible aujourd’hui de bâcler une telle affaire, qui a des répercussions sur l’ensemble de la société ?
Rappelons qu’aujourd’hui une femme est violée toutes les 7 minutes, que 25 % des victimes osent porter plainte et que seulement 2% des violeurs seraient condamnés.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes et montrent le problème plus global et profond auquel doit faire face notre société.
L’incapacité de la justice à faire face à ce type de dossier nous alerte, une fois de plus, sur les difficultés toujours réelles pour établir la preuve et entendre la parole des femmes victimes.
Quelle justice voulons-nous pour les femmes ? Nous savons que les droits des femmes sont toujours difficiles à faire respecter, l’abrogation de la loi sur le harcèlement sexuel en mai, nous l’a rappelé : nous ne pouvons donc minimiser une telle décision juridique, tant elle aura de retentissement sur la vie et l’intégrité physique et psychique des femmes.
Rien ne devrait permettre d’innocenter un violeur et de banaliser des crimes commis à l’encontre des femmes. Pas d’impunité pour les violeurs !
Malgré le climat hostile aux femmes victimes de violences, nous les encourageons à ne pas se taire. Ensemble, associations féministes aux cotés des femmes, nous nous battrons pour faire avancer nos droits.
Source: OPINION : Verdict du procès pour viols en réunion à Fontenay-Sous-Bois - FEMMES SOLIDAIRES s'indigne - Bienvenue sur Infos Chalon
Le viol en réunion est un crime et les peines encourues pour de tels crimes peuvent aller jusqu’à 20 ans de réclusion.
Dans cette affaire, qu’est-ce qui a retenu la justice de faire appliquer des peines plus lourdes et qu’est-ce qui a permis d’en arriver à l’acquittement de 10 des 14 accusés?
Quel message envoyons-nous à la jeunesse ?
Un message d’impunité aux violeurs et un message de découragement aux victimes. Pensons à Nina et Stéphanie qui ont déjà été très éprouvées et font preuve d’un courage incroyable depuis douze années, mais aussi à toutes celles qui n’osent encore parler, et ne sont en aucun cas encouragées à le faire avec ce verdict.
Alors que nos militantes interviennent chaque semaine dans les établissements scolaires pour faire reculer les viols et violences sexistes et encourager les victimes à oser une parole, la justice nous rend la tâche encore plus difficile aujourd’hui avec une telle décision, au lieu de légitimer notre action. Les avocates des deux parties se retrouvent pour dire que le procès a été « bâclé ».
Comment est-il possible aujourd’hui de bâcler une telle affaire, qui a des répercussions sur l’ensemble de la société ?
Rappelons qu’aujourd’hui une femme est violée toutes les 7 minutes, que 25 % des victimes osent porter plainte et que seulement 2% des violeurs seraient condamnés.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes et montrent le problème plus global et profond auquel doit faire face notre société.
L’incapacité de la justice à faire face à ce type de dossier nous alerte, une fois de plus, sur les difficultés toujours réelles pour établir la preuve et entendre la parole des femmes victimes.
Quelle justice voulons-nous pour les femmes ? Nous savons que les droits des femmes sont toujours difficiles à faire respecter, l’abrogation de la loi sur le harcèlement sexuel en mai, nous l’a rappelé : nous ne pouvons donc minimiser une telle décision juridique, tant elle aura de retentissement sur la vie et l’intégrité physique et psychique des femmes.
Rien ne devrait permettre d’innocenter un violeur et de banaliser des crimes commis à l’encontre des femmes. Pas d’impunité pour les violeurs !
Malgré le climat hostile aux femmes victimes de violences, nous les encourageons à ne pas se taire. Ensemble, associations féministes aux cotés des femmes, nous nous battrons pour faire avancer nos droits.
Source: OPINION : Verdict du procès pour viols en réunion à Fontenay-Sous-Bois - FEMMES SOLIDAIRES s'indigne - Bienvenue sur Infos Chalon
Libellés : association, femmes, Justice
Affaire Bettencourt : les rendez-vous secrets de Nicolas Sarkozy - LeMonde.fr
"Huit rendez-vous, de septembre 2008 à mars 2011 : Nicolas Sarkozy, président de la République, a reçu à l'Elysée au moins à huit reprises Philippe Courroye, alors procureur de Nanterre, et ce au plus fort de l'affaire Bettencourt. Des tête-à-tête qui figurent dans les agendas (2007-2011) et les courriels saisis le 3 juillet par les juges dans les bureaux et au domicile de M. Sarkozy. Parfois, les rendez-vous sont confirmés par courriel. Souvent, ils ne sont inscrits que dans l'agenda privé de M. Sarkozy.
S'y ajoutent des rencontres entre le chef de l'Etat, ses deux conseillers justice successifs, Patrick Ouart et Jean-Pierre Picca, et son avocat, Me Thierry Herzog, à des moments-clés de l'affaire. Les investigations des magistrats révèlent ainsi la spectaculaire immixtion du pouvoir politique dans le cours d'une enquête judiciaire sensible qui menaçait directement l'Elysée. Philippe Courroye, convoqué le 2 octobre à Bordeaux, a dû s'expliquer devant les juges. Le Monde a eu accès à son procès-verbal d'audition....
...
En effet, les magistrats bordelais, eux, ont mis au jour un vaste système de financement occulte qui aurait profité à M. Sarkozy. D'après les éléments qu'ils ont recueillis en Suisse, Eric Woerth, alors trésorier de l'UMP, et Patrice de Maistre se seraient entendus pour rapatrier en toute discrétion des fonds. M. Sarkozy s'est par ailleurs rendu au domicile des Bettencourt, au moins une fois, le 24 février 2007. Et il y a encore cette phrase de Liliane Bettencourt, retranscrite par François-Marie Banier, son ex-protégé, dans son journal : "De Maistre m'a dit que Sarkozy avait encore demandé de l'argent. J'ai dit oui." Les magistrats ont donc les dates, les montants, le modus operandi. D'ailleurs, ils ont été jusqu'à interroger de manière pressante M. Courroye : "Êtes-vous en mesure d'apporter des éléments qui pourraient expliquer que M.de Maistre se rende en Suisse [en décembre 2008] faire débloquer 2 000 000 d'euros quinze jours après un rendez-vous avec Nicolas Sarkozy ?" L'ex-procureur parle de "faits dont il ignore tout"."...
Article complet dans Affaire Bettencourt : les rendez-vous secrets de Nicolas Sarkozy
Voir aussi sur Le Point: Courroye va porter plainte pour violation du secret de l'instruction
S'y ajoutent des rencontres entre le chef de l'Etat, ses deux conseillers justice successifs, Patrick Ouart et Jean-Pierre Picca, et son avocat, Me Thierry Herzog, à des moments-clés de l'affaire. Les investigations des magistrats révèlent ainsi la spectaculaire immixtion du pouvoir politique dans le cours d'une enquête judiciaire sensible qui menaçait directement l'Elysée. Philippe Courroye, convoqué le 2 octobre à Bordeaux, a dû s'expliquer devant les juges. Le Monde a eu accès à son procès-verbal d'audition....
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En effet, les magistrats bordelais, eux, ont mis au jour un vaste système de financement occulte qui aurait profité à M. Sarkozy. D'après les éléments qu'ils ont recueillis en Suisse, Eric Woerth, alors trésorier de l'UMP, et Patrice de Maistre se seraient entendus pour rapatrier en toute discrétion des fonds. M. Sarkozy s'est par ailleurs rendu au domicile des Bettencourt, au moins une fois, le 24 février 2007. Et il y a encore cette phrase de Liliane Bettencourt, retranscrite par François-Marie Banier, son ex-protégé, dans son journal : "De Maistre m'a dit que Sarkozy avait encore demandé de l'argent. J'ai dit oui." Les magistrats ont donc les dates, les montants, le modus operandi. D'ailleurs, ils ont été jusqu'à interroger de manière pressante M. Courroye : "Êtes-vous en mesure d'apporter des éléments qui pourraient expliquer que M.de Maistre se rende en Suisse [en décembre 2008] faire débloquer 2 000 000 d'euros quinze jours après un rendez-vous avec Nicolas Sarkozy ?" L'ex-procureur parle de "faits dont il ignore tout"."...
Article complet dans Affaire Bettencourt : les rendez-vous secrets de Nicolas Sarkozy
Voir aussi sur Le Point: Courroye va porter plainte pour violation du secret de l'instruction
Libellés : Bettencourt, Justice, Nicolas Sarkozy