Les troupes coloniales oubliées du centenaire ? | 14-18 : Chroniques du Centenaire
"... Quelque 600 000 soldats des troupes coloniales participèrent à la Grande
Guerre côté français. Entre 1914 et 1918, 270 000 hommes furent
recrutés en Afrique du Nord, 189 000 en Afrique Occidentale Française et
en Afrique Équatoriale Française, 49 000 en Indochine et 41 000 à
Madagascar.
...
...passe sous silence la contrainte exercée par les autorités françaises
pour recruter dans les colonies. C'est clair lorsque le chef de l'Etat
affirme que « la France est venue honorer une dette contractée lors des deux conflits mondiaux du XXe siècle ».
Les autorités maliennes,: aujourd'hui engagées dans la lutte
antiterroriste aux côtés de la France, préfèrent se rappeler que les Africains ont porté secours à la France
...
le ministre délégué aux Anciens Combattants, Kader Arif, a remis au
président malien Ibrahim Boubacar Keïta, une citation élogieuse pour son grand-père signée par Raymond Poincaré et un casque de poilu. Le chef de
l'Etat malien, toujours ému par le souvenir de son aïeul mort à Verdun
et enterré à Douaumont, en avait les larmes aux yeux. ...
"
Article complet: Les troupes coloniales oubliées du centenaire ? | 14-18 : Chroniques du Centenaire
Guerre côté français. Entre 1914 et 1918, 270 000 hommes furent
recrutés en Afrique du Nord, 189 000 en Afrique Occidentale Française et
en Afrique Équatoriale Française, 49 000 en Indochine et 41 000 à
Madagascar.
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...passe sous silence la contrainte exercée par les autorités françaises
pour recruter dans les colonies. C'est clair lorsque le chef de l'Etat
affirme que « la France est venue honorer une dette contractée lors des deux conflits mondiaux du XXe siècle ».
Les autorités maliennes,: aujourd'hui engagées dans la lutte
antiterroriste aux côtés de la France, préfèrent se rappeler que les Africains ont porté secours à la France
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le ministre délégué aux Anciens Combattants, Kader Arif, a remis au
président malien Ibrahim Boubacar Keïta, une citation élogieuse pour son grand-père signée par Raymond Poincaré et un casque de poilu. Le chef de
l'Etat malien, toujours ému par le souvenir de son aïeul mort à Verdun
et enterré à Douaumont, en avait les larmes aux yeux. ...
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