Après Xynthia, Oléron ne décolère pas - LeMonde.fr
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Alors que François Fillon a réaffirmé en conseil des ministres que les zones noires ne seraient pas négociables, les habitants du village qui a donné son nom au fort Boyard attendent du préfet de Charente-Maritime une réponse qui ne viendra pas. L'homme semble réduit au rôle de courroie de transmission d'une décision qui lui échappe et dont les habitants ne veulent pas. En visite, mardi 13 avril, il a réaffirmé qu'il faudrait détruire 150 maisons qui, selon leurs habitants, ne présentent aucun danger.
La vague qui a submergé le village dans la nuit du 28 février, la plupart d'entre eux l'ont regardée passer depuis ces mêmes maisons que l'on veut raser. Les pieds au sec, car la majorité des rez-de-chaussée inondés sont des garages. "Il ne fallait pas généraliser ces décisions à des zones entières", estime Patrick Moquay, maire de Saint-Pierre-d'Oléron, commune dont dépend une partie de Boyardville.
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Alors que François Fillon a réaffirmé en conseil des ministres que les zones noires ne seraient pas négociables, les habitants du village qui a donné son nom au fort Boyard attendent du préfet de Charente-Maritime une réponse qui ne viendra pas. L'homme semble réduit au rôle de courroie de transmission d'une décision qui lui échappe et dont les habitants ne veulent pas. En visite, mardi 13 avril, il a réaffirmé qu'il faudrait détruire 150 maisons qui, selon leurs habitants, ne présentent aucun danger.
La vague qui a submergé le village dans la nuit du 28 février, la plupart d'entre eux l'ont regardée passer depuis ces mêmes maisons que l'on veut raser. Les pieds au sec, car la majorité des rez-de-chaussée inondés sont des garages. "Il ne fallait pas généraliser ces décisions à des zones entières", estime Patrick Moquay, maire de Saint-Pierre-d'Oléron, commune dont dépend une partie de Boyardville.
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