Lorsque le Figaro est obsédé par les "chaussettes sales" chez Wikileaks
Dans deux articles parus dans le Figaro sur Wikileaks , on note la même volonté d'influencer le lecteur négativement sur Wikileaks avec des jugements de valeurs comme "Et lui croyait défendre la liberté d'expression..." et associer l'image "chaussettes sales" à wikileaks et à ses défenseurs ?
1) Dans la "Saga Wikileaks racontée par le New York Times", on nous raconte sur un ton très orienté: "Assange, ce personnage ambigu, aux convictions «anti-américaines» qui a troqué ses chaussettes sales contre des costumes ajustés et une coiffure étudiée, au fur et à mesure que venait la célébrité."
Il faut savoir que les relations entre le New York Times et Wikileaks ont été parfois tendues, les journalistes n'aiment pas se faire doubler...
2) Dans "un français de 15 ans, cerveau des vengeurs de wikileaks" : "...Leur crime ? Avoir mené des attaques informatiques pour bloquer les sites de paiement de Visa ou MasterCard. Des institutions fautives, à leurs yeux, d'avoir privé le réseau de Julian Assange de ses moyens financiers après le scandale de la divulgation de télégrammes diplomatiques pillés aux Américains...Leur fils a commis un délit passible de cinq ans de prison. Le voyant des heures durant devant son écran, eux pensaient qu'il jouait. Et lui croyait défendre la liberté d'expression, enfermé dans sa chambre, au milieu des tee-shirts et des chaussettes sales..."
Mais "Journalistes" du Figaro, occupez-vous de vos pieds plutôt que de ceux des autres et aller plutôt fouiller dans les documents de Wikileaks pour faire votre travail plutôt que de détailler le look d'Assange et de ses défenseurs !
1) Dans la "Saga Wikileaks racontée par le New York Times", on nous raconte sur un ton très orienté: "Assange, ce personnage ambigu, aux convictions «anti-américaines» qui a troqué ses chaussettes sales contre des costumes ajustés et une coiffure étudiée, au fur et à mesure que venait la célébrité."
Il faut savoir que les relations entre le New York Times et Wikileaks ont été parfois tendues, les journalistes n'aiment pas se faire doubler...
2) Dans "un français de 15 ans, cerveau des vengeurs de wikileaks" : "...Leur crime ? Avoir mené des attaques informatiques pour bloquer les sites de paiement de Visa ou MasterCard. Des institutions fautives, à leurs yeux, d'avoir privé le réseau de Julian Assange de ses moyens financiers après le scandale de la divulgation de télégrammes diplomatiques pillés aux Américains...Leur fils a commis un délit passible de cinq ans de prison. Le voyant des heures durant devant son écran, eux pensaient qu'il jouait. Et lui croyait défendre la liberté d'expression, enfermé dans sa chambre, au milieu des tee-shirts et des chaussettes sales..."
Mais "Journalistes" du Figaro, occupez-vous de vos pieds plutôt que de ceux des autres et aller plutôt fouiller dans les documents de Wikileaks pour faire votre travail plutôt que de détailler le look d'Assange et de ses défenseurs !
Libellés : Liberté, Libertés numériques, WikiLeaks
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